Trois liens pour aller s’instruire ou s’interroger.
Tout d’abord cette conférence du collège de France, un tout petit peu ardue par moment, mais claire et pédagogique dans l’ensemble : Chronique d’une émergence annoncée.
Et deux textes qui ont le mérite de poser des questions que tout le monde ne pose pas :
Cette interview d’Alain Damasio sur Libé, et ce papier de Frédéric Lordon dont le titre a le mérite de la clarté. Bonne lecture, confinez bien.
9 réponses sur « Trois liens »
On peut aussi ajouter ce texte limpide : Savoir & Prévoir. Le conclusion y est sans appel pour le gouvernemant.
https://laviedesidees.fr/Savoir-et-prevoir.html
J’aimeJ’aime
Bonjour je suis C dans les commentaires. Puis-je vous soumettre un texte que j’ai écrit ?
thierry.cousteix63@gmail.com
J’aimeJ’aime
Salut,
Bien entendu. Dans le café il n’y a pas que le barman qui cause !
Tu peux m’envoyer je mettrai en ligne.
Je t’envoie mon adresse.
JM
J’aimeJ’aime
OK merci. Si mon article ne convient pas j’accepte la non publication cela va de soi.
Et sans faire la gueule !
Pas reçu votre adresse mail…en attendant…encore merci.
J’aimeJ’aime
Merci pour les liens, j’avais lu le papier du monde diplo, la conférence est pédagogique loin du débordement de superlatifs et de pathos dont nous les médias nous abreuvent. Enfin. L’interview de Damiaso est percutante et bizarrement me donne envie de plonger dans les furtifs que je n’ai pas encore lu.
J’aimeJ’aime
Il faut lire les furtifs !
J’aimeJ’aime
Je ne sais pas s’il y a un problème et que mes mails passent dans tes spams, j’en ai envoyé 3 à l’adresse indiquée dans ton commmentaire.
Je remets mon adresse ici, avec un peu de précaution pour que les robots de merde ne l’attrape pas, j’ai assez de pub commme ça !
« jm.laherrere » et je suis chez orange.
J’aimeJ’aime
La pompe à phynance, le blog de Frédéric Lordon sur lemondediplo.com, je le lis régulièrement. Lordon est très en colère depuis un peu plus d’un an maintenant, et le ton est plein d’invectives et d’appels à la révolte.
Le reste de sa production porte sur l’étude de l’oeuvre de Spinoza et est beaucoup plus complexe, même si peut-être autant voire davantage inspirante.
Je recommande en tout cas sa pièce de théâtre en alexandrins, « D’un retournement l’autre », savoureuse par l’écriture autant que par la farce, et bien entendu tout à fait édifiante. Elle met en scène banquiers et dirigeants politiques, libéraux et cyniques, à l’époque de la crise banquière de 2008.
L’avenir proche verra peut-être se poser à nouveau la question du sauvetage des banques par l’argent public. J’espère, plus que je n’y crois, que cette fois on ne ratera pas l’occasion.
J’aimeJ’aime
Pour l’instant on ne peut qu’espérer, quand à croire … croit-on encore à quelque chose ?
J’aimeJ’aime